Histoires erotiques

 

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Merci de m'avoir raccompagné...

Il revenait d'un repas un peu ennuyeux avec un de ses collègues et roulait plutôt doucement sur la corniche. Déjà onze heures et demi et la fatigue commençait à se faire ressentir, autour des yeux notamment où le picotement familier du besoin de sommeil se faisait sentir. Au bord de la route il vit surgir une silhouette et fit même un écart de peur de blesser quelqu'un: un petit black faisait du stop, un casque à la main. Un peu "skincholle" comme on dit par ici, pas très barraqué. Sans réfléchir Lucas se vit arrêter la voiture
et baisser la vitre côté passager.

Ce gars-là représentait pour moi l'idéal masculin. Grand, musclé, immensément beau, des yeux dans lesquels on aurait envie de se noyer, une chevelure dorée, il avait tout pour plaire. Impossible de le regarder sans s'imaginer les pires folies avec lui.

Le garçon avait couru jusqu'à la vitre et dit: "Bonjour, je vais à la Belle de Mai." Lucas se dit que ce n'était vraiment pas la porte à côté, mais déjà il venait de dire "Ok", comme si quelqu'un d'autre en lui avait répondu à sa place. Le jeune entra rapidement, dit merci en souriant, il avait une bouille
d'angelot qui lui fit penser brièvement au personnage sur les paquets de Banania. Ses cheveux étaient courts et crépus, ses dents blanches brillaient, comme phosphorescentes avec le reflet des lumières du tableau de bord. Denis, c'était son nom, venait d'abandonner son scooter définitivement naze, et se trouvait heureux de trouver quelqu'un qui puisse le ramener, car il travaillait le lendemain. En fait il faisait un stage professionnel de menuiserie et son patron n'aimait pas trop qu'il arrive en retard; de fil en aiguille Denis
raconta un peu son travail, ses parents chez qui il habitait encore, les croquettes du chat qu'il devait nourrir pendant leur absence, sa copine qui venait de le larguer.

Lucas écoutait en souriant quand Denis lui demanda: "Et vous, vous êtes dans la police?" probablement à cause de la chemise bleue et des galons qu'il avait négligemment posés dans le vide poches. "Non, l'armée de l'air," fit-il, déclenchant un "Ouah!" d'admiration: le petit adorait les avions, les avions de chasse, il commença à lui énumérer toutes ses connaissances en la matière.

Ils venaient d'arriver à la cité où habitait Denis: "Allez, viens prendre un verre!" le tutoya-t-il soudain. Devant cette affriolante innocence il ne pouvait repartir froidement. Il mit en place la canne antivol et suivit le petit gars dans l'entrée taguée de l'immeuble. L'ascenseur lui sembla un peu
exigu pour un immeuble aussi grand puisque sa main effleurait la cuisse de Denis mais il remarqua en arrivant au neuvième qu'il y en avait un deuxième. L'odeur un peu âcre d'une litière à changer planait dans l'appartement où il le
fit entrer. Il lui indiqua la porte du fond, "Vas-y, je reviens." C'était sa chambre.

À gauche en entrant, son lit aux draps à fleurs défaits sur lequel traînait une paire de chaussettes visiblement propres. Dépassant de dessous, deux paires de Nike, l'une plus usée que l'autre. À droite, un meuble bas supportant sa chaîne, télé et magnétoscope. Au fond de la pièce, son armoire, et sous la
fenêtre, un petit bureau envahi d'un vrai cafarnaum. Des posters aux murs, des avions de chasse, les Spice Girls, Pamela Anderson les miches en avant.

Il entendit des pas feutrés et des bruits de bouteille: "Y'a que de la bière au frais, sinon y'a du whisky," fit-il avec une grimace. Je pris une bière, lui se servit une dose de whisky. "Pas mal, hein?" me fit-il en me montrant le Rafale.
Je fis mine de mal comprendre et montrai les nichons de Pamela en disant: "Joli cockpit!" "Non," dit-il en riant, "l'avion!" Il se resservit une dose d'alcool.
"Au fait, mon pote Karim m'a prêté une cassette, il paraît que c'est super!" et alliant le geste à la parole, il enclencha le magnétoscope qui montra une blondasse s'empalant sur une queue noire assez longue.

Lucas à qui il n'en fallait pas beaucoup sentit sa bite commencer à gonfler et s'assit sur le lit pour plus de discrétion. Denis regardait, assez subjugué et commenta en souriant: "Y'a que les blacks pour avoir des trucs pareils!" et se rajusta le pantalon de survêtement sûrement pour la même raison. Lucas lui répondit qu'il ne fallait pas généraliser, que des blancs avaient aussi de gros morceaux. "Ah oui?" fit Denis. "Lesquels? Tu peux m'en trouver?" Lucas se désigna de la main d'un air désolé, comme pour dire qu'il ne fallait pas aller chercher bien loin. "Ah oui?" répéta Denis, "Montre ça!" en se calant sur le lit comme pour bien profiter du spectacle. Lucas était à la fois gêné et excité, gêné parce qu'il bandait comme un âne et excité parce que ce petit gars croustillant voulait qu'il lui montre sa bite et ça lui plaisait bien.

Il dégrafa sa ceinture, ouvrit la braguette et descendit le pantalon sur les genoux. Sa bite durcie faisait une longue barre épaisse et horizontale tendant son mini slip, qu'il descendit d'un coup, libérant son gros ressort qui se mit
à pointer vers Denis animé de petites pulsations. "Ah la vache!" dit le jeune, se releva d'un bond et descendit son jogging, puis un short large qu'il portait dessous. Une grosse barre verticale, chez lui, venait distendre un caleçon à
petits carreaux, qu'il enleva d'un coup. De même que chez Lucas, tel un ressort sa queue se déploya droit devant, ils se trouvaient maintenant avec leur trique à une vingtaine de centimètres l'un de l'autre. "Ah la vache!" répéta Denis
comme pour s'innocenter et sa main vint soupeser l'engin, la paume sous le gland. Lucas fit de même mais tira un peu en arrière pour décalotter complètement le bout.

Son petit gland rose pointait un peu vers le haut, et se détachait dans la pénombre du corps épais et brun. Denis soupira et amorça un mouvement de va-et-vient dans la main de Lucas, puis il murmura: "Suce-moi!" comme si ça n'était pas prévu au programme! Ce dernier s'agenouilla, mit une main sur
chaque fesse d'une douceur enfantine et fit lentement glisser le long sabre chaud dans sa gorge. Le petit n'avait sûrement pas l'habitude d'un tel traitement et gémissait en approfondissant le mouvement, tenant la tête de
Lucas de ses deux mains. La porte s'ouvrit lentement et un gros chat tigré voulut entrer. Denis interrompit la séance de pompage, le chassa et ferma la porte.

Il ouvrit une boîte, en sortit un préservatif et dit à Lucas: "Tourne-toi!" Ça, c'était pas prévu au programme, mais tant pis, vivent les surprises! Lucas se sentait parfaitement détendu, il valait mieux car le morceau de Denis était de
taille, et qu'il lui enfonça d'un coup sans préavis... Après la douleur vint le plaisir, le petit chevauchait la croupe avec ardeur, à tel point que seules les fesses en l'air de Lucas étaient restées sur le lit: sa tête avait presque
glissé dessous, bloquée par les basquets qui lui offraient maintenant ses juvéniles exhalaisons. Denis cria presque alors qu'il donnait les derniers coups de reins en jouissant, pendant que Lucas, plus discret, honorait les draps fleuris. Il ne termina pas sa bière car il était une heure du matin
passée.


Le réveil du lendemain fut difficile, mais il prit pour le petit déjeuner un grand bol de Banania.


Fantasmes à la piscine municipale

La semaine dernière, je suis allé à la piscine municipale de mon quartier, la piscine olympique de 50 mètres, pour une petite heure de natation. Je suis donc arrivé comme à mon habitude vers les trois heures de l’après-midi par le bus qui s’arrête juste devant. J'rentre, paye mon entrée et me dirige vers les vestiaires. Il y avait deux sorte de vestiaires, soit
individuel, des petites cabines pour une personne, soit le ollectif, un grand carré avec des bancs tout autour.

J’avais envie d’aller dans le vestiaire collectif, il y avait souvent beaucoup de gars qui s’y changent. Je pousse la porte et comme d’habitude, il n’est pas vide. Il y avait des gars de tout âge, des jeunes assez pudiques, des gars mûrs qui se montrent sans problème et des gars plus vieux qui se changent assez discrètement.

Je trouve une place, pose mon sac et commence à me déshabiller; à côté de moi, il y a trois gars qui étaient complètement nus qui se mettaient de la crème anti-dessèchement. Ils étaient très beaux et ils avaient de grosses
bites un peu gonflées.

Une fois en slip de bain, eh oui, il est toujours obligatoire dans les piscines municipales, les nostalgiques du caleçon devront encore patienter. Enfin bref, je suis prêt pour aller nager. Je passe rapidement dans la salle des douches, il y a quelques beaux gosses mais sans plus. J’entre dans l’eau et je commence à nager.

Au bout d’une demi-heure de nage, je fais une pause. Je sors de l’eau et vais m’asseoir sur un des bancs qui sont tout autour des murs de la piscine. C’est alors que mon regard est attiré vers un superbe apollon, un mec assez grand, il a des cheveux mi-longs blonds, il porte un maillot noir qui moule un gros engin à la vue de la grosse bosse de son slip. Je crois
qu’il m’a repéré mais il ne vient pas me voir et plonge dans le grand bain et se met à nager. Je le regarde pendant quelques minutes, il a des lignes très fluides et un corps parfait. Ma pause finie, je me remets à nager, j’étais parti pour vingt minutes.

Mes longueurs finies, je sors. J’essaie de voir l’apollon du regard mais je ne le vis pas. Je prends mes affaires et me dirige vers le vestiaire collectif, il est blindé. Je tourne les talons et cherche une cabine de libre, j’en vois une de libre, j’accélère un peu pour être sûr de l’avoir.
Je l’ai, ouf! Je pose mes affaires, me retourne pour fermer la porte lorsqu’il est là l’apollon, ouvrant la porte:

- Il n’y a plus de cabine de libre, je peux me changer avec toi? m’a-t-il alors demandé.
- Oui bien sûr, ai-je balbutié.

Il est alors entré. On a un peu discuté en même temps que nous nous séchions. C’est alors que j’appris qu’il s’appelait Simon, qu’il avait mon âge et qu’il vivait pas très loin de la piscine. Après s’être séché, Simon a retiré son slip de bain. Je suis resté bouche bée, il avait une superbe bite: elle était longe, environ une quinzaine de centimètres (au repos),
très large et entièrement rasée, il n’y avait aucun poil. Ayant remarqué mon regard, Simon me demande si je veux la toucher, j’hésite, puis j’accepte et je me mets à caresser son énorme sexe.

Très vite, ce sexe déjà très gros, grossit encore plus, pour s’ériger tout droit, bien tendu, en érection. Je le regarde, il a les yeux fermé, il a l’air d’aimer ce que je lui fais alors je pris l’initiative. Je m’assois sur la banquette et j’entreprends de le sucer. Il est trop gros et je n’ai
pas pu mettre immédiatement tout son sexe dans ma bouche. Je l’ai donc léché et lorsque je le pus, j’ai gobé son engin non sans mal.

Simon se retira avant d’éjaculer. Je me suis mis debout et on s’est embrassé. Il prit mon slip par les côtés et le descendît pour enfin libérer ma bite, nettement moins grosse que la sienne, de sa «prison». Il se mit à genoux et mit tout mon sexe dans sa bouche et commença à pomper. Il suçait tellement bien que je ne mis pas longtemps pour éjaculer dans sa bouche. Il a bu tout le sperme qui a giclé. Une fois tout avalé, il se redressa, me plaqua contre le mur la face contre la paroi froide et mit deux doigts dans mon cul et les enfonça bien fort, puis en mis trois. Il essaya même de passer toute sa main mais il n’y est pas arrivé. Toujours contre le mur,
Simon se colla à moi et commença à m’enculer. Il forçait un peu et ça faisait super mal. Une fois au fond, il n’y a pas eu une seconde de répit: il commença les va-et-vient, ça faisait très mal, mais le plaisir prit petit à petit le dessus sur la douleur. Après cinq bonnes minutes de défonce totale, Simon éjacula enfin.

Une fois terminé, on s’est rhabillé sans un mot puis on est parti chacun de notre côté. On s’est de temps en temps revu à la piscine et comme par hasard, à chaque fois, il n’y avait plus qu’une cabine de libre pour se changer...


Des vacances de reve!

Je l'avais rencontré par hasard, lors d'une soirée chez des amis communs. Je l'avais par la suite revu à quelques eprises, et à chaque fois, bien que tentant de me maîtriser pour ne pas me dévoiler, je ne pouvais cacher le fait qu'il me plaisait énormément. Mon regard était littéralement attiré vers lui.

Lors d'une discussion chez nos amis, il raconta qu'il avait bien envie de s'offrir une semaine de vacances dans le Sud. Ses parents avaient une maison dans une île des Antilles. J'en ai profité pour dire à tous mon rêve de me retrouver un jour dans cette contrée paradisiaque.

Il me dit alors: "Pourquoi ne viendrais-tu pas avec moi? Tu n'as que ton billet d'avion à payer. On partagera les frais pour la bouffe." Je pensais mourir de joie. Vous pensez bien que j'ai accepté son offre. Tant pis si ça ne débouchait pas sur l'assouvissement de mes désirs, au moins j'aurais la joie de partager une semaine avec lui, dans ce lieu de rêve qui me
fascinait depuis si longtemps.

Dès le lendemain, les billets d'avion étaient réservés. Le départ était prévu dans deux mois. Ce fut une attente absolument interminable. Puis, vint le jour du grand départ. Après cinq heures de vol, je me suis retrouvé au paradis, avec l'homme de mes rêves.Il avait loué une Jeep à l'aéroport, et nous avons fait lentement le trajet qui devait durer une bonne heure. Comme c'était bon cette chaleur qui nous envahissait.
À mi-chemin, il s'arrêta sur le bord de la route pour me montrer une vue superbe sur la mer. À couper le souffle!

Le soleil resplendissait, et on voyait les eaux turquoises venir se riser sur la plage de sable blanc. Il faisait de plus en plus chaud, et entre deux palmiers, il retira son T-shirt. Quel corps! Un torse absolument parfait, aux muscles bien dessinés, sans aucun poil.

Alors qu'il remettait une de ses bretelles sur son épaule, je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire: "Si tu savais comme je t'envie d'avoir un si beau corps!" Ce à quoi il me répondit: "Merci, tu es gentil. Mais parfois, j'aimerais mieux être moins beau. Je suis fatigué de toujours me faire draguer. Je cherche quelque chose de plus durable."

Nous avons ensuite repris la route. Nous sommes enfin arrivés devant cette villa superbe, toute blanche, avec plein de verdure et de fleurs exotiques autour. Il m'a fait entrer, m'a fait faire le tour des lieux, puis m'a dit: "Que dirais-tu d'aller se rafraîchir dans la piscine?" Sans hésiter, je lui
ai répondu: "C'est une très bonne idée." Il s'est dirigé vers la seule et unique chambre à coucher, en me disant: "J'enfile mon maillot et je vais ensuite nous préparer un verre." Il ressortit quelques minutes plus tard, en maillot. La beauté incarnée!!!

Il se dirigea ensuite vers le bar, pendant que j'allais à mon tour enfiler mon maillot. Il m'emmena ensuite à l'arrière de la maison. Un endroit très discret, protégé des regards curieux, avec une piscine magnifique. Il plongea dans l'eau et fit quelques brassées. Assis sur le bord, les jambes dans l'eau, je le regardais nager, tout en sirotant mon verre. Un vrai poisson!

Puis, il vint s'asseoir à côté de moi. Nous avons jasé de longues minutes. Il me racontait comment ses parents avaient fait l'acquisition de cette superbe villa. Puis, il me dit: "Tu ne te baignes pas?" Je lui répondis: "Oui oui. Je voulais finir mon verre avant. J'avais tellement soif." Il me dit: "J'y retourne, elle est trop bonne. Ah! En passant. Je ne te connais pas beaucoup, et je ne sais pas si tu es scrupuleux. Mais ici, habituellement, je me baigne à poil. Comme personne ne peut nous voir, je te le conseille. On est tellement bien!"

Et à ces mots, il entra dans l'eau à mi-jambes et enleva son maillot, me révélant ses charmes jusque-là cachés. Il était vraiment parfait! Un pénis de belle taille, circoncis, des testicules bien rebondis, et une paire de fesses admirables. J'ai dû détourner mon regard, car déjà je sentais ma queue tressaillir dans mon maillot. Comment cacher mon émoi? J'ai sauté à l'eau. Elle était vraiment bonne.

Après quelques minutes, j'avais réussi à me changer les idées, et j'ai moi aussi enlevé mon maillot. Nous sommes restés une bonne demi-heure dans l'eau. Puis, il me dit que l'heure du souper devait être proche, car il avait très faim. Nous sommes rentrés dans la maison, seulement vêtus de nos serviettes. Il se dirigea vers la salle de bain et j'entendis l'eau de la
douche couler. J'aurais tellement voulu aller l'y rejoindre, mais je ne voulais pas aller trop vite. De toute façon, je ne savais pas grand-chose de lui. Il ressortit de la salle de bain, vêtu uniquement d'un caleçon bikini, moulant admirablement bien ce «paquet» de rêve. J'entrai à mon tour
dans la salle de bain pour prendre une bonne douche. Lorsque j'ai rouvert le rideau de douche, il était là, à se peigner.

Prenant un air sérieux, il me dit: "Écoute! J'aimerais que nous mettions une chose au clair tout de suite. Il y a longtemps que j'ai constaté que tu me regardes souvent. Et tes yeux te trahissent. Je vais t'avouer une chose, je suis bisexuel, et si jamais tu as envie de vivre l'expérience avec moi, j'aimerais beaucoup." Joignant le geste à la parole, il baissa le devant de son caleçon, m'exhibant sa queue en semi-érection et en me disant: "Si elle te tentes, ne te gêne surtout pas!"

Devant tant de hardiesse, j'ai aussitôt bandé comme un fou. Il enleva son caleçon, prit une serviette et vint me sécher. Comment vous décrire? Des mains si fortes, si viriles, et pourtant si douces!!! Je sentais son corps frôler le mien. Lorsqu'il eut fini de me sécher, il s'adossa au mur, et
lorsque je me suis retourné vers lui, il caressait sa queue en me disant: "J'ai vraiment envie de toi!" Sa queue tendue au maximum, et la mienne aussi d'ailleurs.

Je lui ai avoué que je n'avais aucune expérience en ce domaine, bien que j'en rêvais depuis très longtemps. Il me dit: "La meilleure façon, c'est d'être à l'aise. Fais ce dont tu as envie, c'est le meilleur conseil que je puisse te donner."

Je me suis approché de lui, et j'ai commencé à frotter ma queue sur la sienne. Ses lèvres se sont soudées aux miennes, dans un long baiser passionné. J'étais hyper-excité, mais j'avais aussi un peu peur à la fois de franchir ce pas. Bien que désirant cette expérience depuis très très longtemps, c'est comme si j'avais voulu faire durer le désir encore un peu plus. Je lui ai expliqué mes états d'âme, et il me dit: "Je comprends, que dirais-tu si nous remettions ça après le souper?" Je n'ai pu que lui répondre: "Merci, c'est gentil à toi!"

Nous nous sommes habillés et sommes allés souper dans un petit restaurant très typique. Le repas était arrosé d'un vin délicieux, ce qui contribua grandement à faire tomber mes dernières appréhensions.

Lorsque nous sommes revenus à la maison, il nous prépara un digestif, et alla s'asseoir au salon. J'étais installé devant la grande porte-fenêtre, à contempler cette vue magnifique sur la mer, et sur un coucher de soleil vraiment inspirant. Je l'entendis me dire: "Et si on passait aux choses sérieuses maintenant?"

Je me suis retourné vers lui. Il était assis sur le divan, complètement à poil, dans une pose nonchalante qui me faisait craquer, et même bander férocement. J'admirais sa beauté si parfaite. Il me dit: "Viens, déshabille-toi, je vais t'enseigner les plaisirs entre hommes!" Je me suis
déshabillé. Lorsque j'ai relevé la tête, il avait déjà une superbe érection. Quelle queue! Il y porta sa main et commença à se masturber devant moi en me disant: "Viens, j'aimerais que tu me suces!" Je me suis approché de lui et me suis penché vers cet organe que je désirais plus que tout au monde. Il se masturbait toujours, et j'ai léché ce gland magnifique, goûtant les gouttes de précum qui y perlaient déjà. Hmmm!
Délicieux!!! J'aspirai ensuite son gland dans ma bouche, pour le suçoter.

Il exprima sa satisfaction en poussant un long soupir. Puis, il me dit: "Es-tu certain de ne jamais avoir fait ça avant?" Ce à quoi je répondis: "Je te le jure!" Il ajouta: "Tu fais ça comme un pro!" Et je lui ai dit: "Je ne l'ai peut-être jamais fait, mais j'en rêve depuis si longtemps!" Il lâcha sa queue, me laissant le champ libre. Je l'enfonçai lentement dans ma
bouche, savourant chaque centimètre de cette chair vibrante de désir. Je le sentais tressaillir. J'ai posé ma main sur ses couilles, sachant très bien la douce sensation de chaleur qu'on ressent alors.

Il se laissa faire pendant une bonne dizaine de minutes. Le temps s'était arrêté pour moi, et je l'aurais ainsi sucé toute la nuit. Il posa ses mains sur ma tête et me dit: "Viens, j'ai envie de sucer la tienne!" N'ayant plus aucune appréhension, je me suis relevé, prenant ma queue à pleine main et l'approchant de ses lèvres si sensuelles.

Il commença par me lécher sur toute la longueur. Sa langue chaude et humide remonta de mes couilles jusqu'à mon gland, me procurant des sensations absolument divines. Empoignant ma queue, il aspira ensuite mon gland pour le sucer. Ahhhh! Ma première pipe masculine. Et quelle pipe! Il savait y faire. Puis, il m'aspira entièrement, me suçant avec plus de vigueur.
Pendant qu'il me suçait, j'avais étiré le bras pour le masturber.

De sentir ainsi son désir dans ma main, alors qu'il me faisait monter au septième ciel, m'excitait au plus haut point. Moi qui ai d'habitude tant de contrôle pour faire durer le plaisir, je sentais déjà monter en moi une jouissance indescriptible, devant laquelle je ne pouvais que céder.

Je lui dis: "Excuse-moi, mais je vais bientôt jouir. C'est trop bon, je suis incapable de me retenir!" Il me dit: "Laisse-toi aller, jouis mon homme, jouis tant que tu veux!" J'ai littéralement explosé dans sa bouche, me sentant propulsé dans une autre galaxie constellée d'étoiles scintillantes. Je déversais dans sa bouche de longs jets abondants, et il
prenait le tout avec un plaisir évident. Je me sentais vidé d'un seul coup de tous ces désirs refoulés. La jouissance avait été tellement forte que mes jambes en tremblaient. Il me prit par la taille et m'invita à m'asseoir.

Il se retrouva debout devant moi, sa queue toujours fièrement tendue. Je l'aspirai à mon tour, désireux de lui faire atteindre aussi la jouissance. Je le suçais avec une ardeur peu commune, caressant ses fesses, ses couilles, ses mamelons. Il suivait le rythme des hanches et semblait aimer le plaisir que je lui donnais. Alors que je lui massais les couilles, je
les ai senti se contracter, et il me dit: "Je viens!", comme pour me prévenir. Il explosa à son tour dans ma bouche, en criant son plaisir. Puis, il vint se blottir contre moi sur le divan.

Je lui ai dit: "Merci. Merci beaucoup. J'ai adoré ça. C'était encore meilleur que dans mes fantasmes." Il me répondit: "De rien, j'ai aimé ça moi aussi. Et attends, la semaine ne fait que commencer, je sens qu'on va bien en profiter tous les deux!" Ce à quoi je ne pouvais que répondre: "Je
le sens moi aussi!!!"

It's my friend! 


Lanny me fixait, comme attendant que j'en dise plus. J'imagine que je faisais exactement la même chose. Je m'attendais à quelconque réponse entre "Va chier" ou "Je le savais" ou encore "Crisse ton camp d'ici". Mais il n'en dit rien. En
fait, il ne disait rien du tout!

- Désolé, dis-je, tout à fait sans raison d'ailleurs.
- Désolé pourquoi? Me dit-il en souriant.

J'essayais de ne pas regarder la serviette autour de sa taille, comme c'était tout ce qu'il portait en ce moment. C'était dur... De ne pas regarder bien sûr.
En fait, j'étais aussi bandé dur, mais heureusement, mes boxers amples cachaient ce fait.

- Hey voyons! J'm'en foutrais même si tu t'amusais à enculer des moutons!

Lanny venait d'une ferme en Indiana, alors toutes ses références portaient sur l'embrassage de mouton, le culbutage de vaches et de gars montés comme des étalons, alors j'y étais habitué. Quoique en ce moment, je me demandais s'il n'avait pas voulu insinuer autre chose...

- Au moins, ça me rassure sur une chose, dit-il.
- Quoi donc?

J'assumais, du moins j'espérais, qu'il allait m'annoncer la même chose pour lui! Lanny est venu se placer devant moi et a retiré la serviette qui cachait sa nudité, la lançant à l'autre bout de la pièce.

- Je n'aurai plus besoin de m'en faire à propos de ça!

Je n'avais même pas à me croiser les yeux, sa queue et ses couilles étaient là, à la hauteur de mon visage. Soit qu'il allait me planter le visage de son dard ou encore il me niaisait. Je ne savais trop.

- Merde, comme ça fait du bien! J'avais l'habitude avant de me promener à poil tout le temps chez moi. Je ne l'avais pas fait jusqu'ici car j'avais peur que tu crois que je te faisais des avances...

Il s'est ensuite dirigé vers la serviette et se pencha pour la reprendre. L'une des choses que j'aimais bien de Lanny, c'est qu'il aimait que tout soit bien rangé dans l'appart.

Cette soudaine vision de son magnifique cul n'était pas désagréable d'ailleurs.
À la seule pensée de le voir se promener constamment nu dans l'appartement était très intéressante...

- C'est cool, dis-je, ou plutôt, admis-je!
- Ouais, mais va falloir que tu fasses de même. J'veux pas être le seul à te faire le show tout le temps!

Il se mit à rire et sauta sur moi, essayant de retirer mes vêtements. On roulait sur le plancher du salon comme on l'avait fait si souvent, luttant amicalement comme de petits enfants. Mon boxer ne pouvait cacher indéfiniment
mon érection à cause de cette bataille, et ce qui devait arriver, arriva. Ma queue pointait maintenant au travers de la fente sur le devant de mon sous- vêtement. Il était par-dessus moi, me retenant au sol par les bras... Rien d'anormal, c'est toujours lui qui gagnait lors de nos joutes de lutte.

La vue de son corps nu au dessus de moi, ses épaules larges, sa taille fine et ses bijoux de famille qui se balançaient dans le vide, c'était tout simplement merveilleux, trop beau pour être vrai... En ce moment, il aurait pu faire ce qu'il voulait de moi. Il aurait pu avoir mon cul, ma bouche ou n'importe quoi d'autre...

- Je vois que le petit oiseau veut sortir, me dit-il en riant alors qu'il tirait sur mon boxer pour me le retirer.

Le téléphone sonna, alors il s'est rapidement relevé pour aller répondre. Alors qu'il parlait avec sa voix doucereuse dans le combiné avec qui que ce soit qui était au bout du fil, sa main s'est dirigée vers sa queue et il a commencé à se tripoter.

En temps normal, je me serais vite effacé pour lui laisser son intimité, mais aujourd'hui, je décidais de rester pour le regarder, et je me masturbai en le regardant se masser son sexe. Lanny me regardait du coin de l'oeil et souriait.

- Merde, si t'es pour te crosser à tout bout de champ, peut-être ne devrions- nous pas faire ça alors, dit-il en raccrochant le téléphone.

Mais finalement, après les cours, lors de nos études ou quoique ce soit que nous faisions lors de nos soirées, nous finissions généralement tous les deux dans le salon, à regarder le film de fin de soirée ou l'un des talk-shows.
Depuis que je lui avais avoué que j'étais gai, nous étions la plupart du temps à poil, sans artifices vestimentaires nous cachant l'un de l'autre.

En fait, notre vie dans ce petit appartement allait de mieux en mieux. Il n'était pas rare que Lanny se levait le matin et venait déjeuner complètement à
poil, ou encore pour moi de sursauter dans la douche alors qu'il tirait le rideau pour me parler pendant que moi, je me savonais ou me rinçais. Mais plus le temps passait, plus ça devenait frustrant également. C'était comme si
j'habitais avec un amoureux avec qui je ne baisais pas! Nous étions déjà confidents l'un de l'autre, mais notre lien s'était tellement renforcé après qu'il eut su la vérité sur moi.

Je lui parlais de mes rencontres, et lui les siennes. On a vite abandonné nos chambres pour baiser avec nos rencontres dans le salon... Ça arrivait souvent que l'un de nous arrivait tard le soir pendant que l'autre s'envoyait en l'air
dans le salon, le cul à l'air!

Dana est l'un de ceux qui est venu quelques fois. Il était avec moi dans l'une de mes classes, et nous avions beaucoup de plaisir à découvrir et à pratiquer notre versatilité. Je me souviens, une fois, nous étions dans la cuisine un bon
matin, à poil, et je l'embrassais en me collant langoureusement contre son corps. Nous venions de passer une nuit blanche à baiser comme des fous, partageant orgasme après orgasme. Pendant que je l'embrassais en lui tripotant
les fesses, ses mains m'agaçaient les mamelons.

- Bonjour les boys!

La voix de Lanny venait nous interrompre dans ce baiser passionné. Dana a sursauté, moi je n'ai fait que le saluer avant de retourner à ses amygdales. Lanny ne portait qu'un slip moulant. Il s'est rendu jusqu'au réfrigérateur, a rempli son bol de céréales de lait et s'est assis à la table pour manger.

- Lanny, dis-je, abandonnant la bouche de mon amant pour quelques secondes.

Il se mit à rire, et s'est levé pour quitter vers sa chambre.

- Beau p'tit cul, ajoutait-il avant de pénétrer dans son royaume.

Dana était stupéfait, mais réussit tout de même à murmurer un "Merci" gêné avant que je retournais explorer sa bouche avec ma langue.

- Vous deux, vous êtes vraiment bizarres, m'a dit Dana une bonne fois.

Une autre fois, j'étais au salon, vêtu que de ma robe de chambre, mangeant mon bol de céréales alors que je regardais les dessins animés. J'étais là, 24 ans, et j'aimais toujours regarder mes dessins animés le samedi matin. Que voulez-
vous, personne n'est parfait!

Charlotte est apparue, portant le plus petit déshabillé qu'il m'est été donné de voir. En plus d'être si petit, il était très mince, on pouvait tout voir à travers le tissus.

- Salut mon beau, me dit-elle en souriant alors qu'elle préparait du café.

Je n'ai pas été surpris de voir Lanny sortir de sa chambre, le cul à l'air pour venir prendre sa tasse de café. Je n'étais pas surpris non plus de les voir s'assoir avec moi dans le salon. Si quelqu'un nous avait vu, il n'aurait cru ce
qu'il voyait! On était tout simplement assis là, discutant.

- Avez-vous déjà baisé ensemble? Demanda Charlotte.

J'ai éclaté de rire alors que j'essayais de placer mes mots dans le bon ordre, mais Lanny m'a devancé pour la réponse:

- Pas encore.

Je n'étais pas très exhibitionniste. Même dans les vestiaires de l'école, j'étais plus que modeste. Il m'a fallu de nombreuses années avant d'être capable de même pisser alors qu'il y avait d'autres gars autour de moi. Je n'ai jamais su si c'était parce que j'étais gai ou encore si ce n'était que la gêne.

Mais Lanny m'a guéri de ceci. Et à part la délicieuse vue de son corps nu, marchant nonchalamment, s'assoyant près de moi, ne se gênant pas de se promener dans l'appart, c'était pour moi une toute nouvelle liberté que d'être capable de faire la même chose. Et je croyais avoir tout gâché un bon après-midi.

C'était à l'automne, durant l'été des indiens. Il faisait tellement beau que c'était le genre de journée à se promener en short, sans chandail, tout le monde se pavanait ainsi sur le campus. Mon retour à la maison en vélo avait été
pénible. Une fois arrivé, j'ai pris ma douche, et en sortant, je me décidais à ouvrir mes livres pour étudier un peu.

Comme je passais devant la chambre de Lanny, sa porte était ouverte. Il était là, couché sur son lit, à poil comme d'habitude. Pour une raison qui m'est
inconnue, je suis entré dans sa chambre et je suis resté là à l'admirer quelques instants. Ce n'est pas qu'il se cachait de moi en temps normal de
toute façon, mais ça me semblait excitant de le faire pendant qu'il sommeillait, de le faire sans qu'il ne le sache.

Mes doigts tremblaient en soulevant sa belle queue large pour mieux la voir. Je ne pus résister d'y embrasser le bout du gland et ensuite d'y glisser ma langue. Lanny s'est alors mis à bander. Je l'ai mise dans ma bouche et j'ai
commencé à sucer tout doucement cet objet de rêve. J'en profitais également pour lui lécher les couilles de temps à autre.

J'étais sur mes gardes plus que jamais, sachant très bien que notre amitié était unique, mais sans savoir pourquoi, je ne pouvais m'en empêcher, et je sentais le besoin de mettre fin à ma frustration.

Je le suçais d'un mouvement régulier quand j'ai levé les yeux. Il s'était réveillé et il me fixait. Il ne m'a pas repoussé, ni encouragé à continuer. Il ne faisait que me regarder, fermant les yeux quand je passais sur une région particulièrement sensible. Je continuais de le regarder alors que je le léchais partout, tentant d'apprendre ses petits points sensibles.

Comme s'il réalisait soudainement que je savais tout de lui maintenant, il s'est allongé confortablement, respirant profondément en gémissant alors qu'il approchait de l'orgasme, jusqu'à ce qu'il vienne entre mes lèvres, sa sève s'écoulant ensuite sur son ventre plat. Je suis allé chercher une serviette pour bien l'essuyer. Je ne savais pas quoi dire. Alors je suis retourné silencieusement dans ma chambre pour étudier, ignorant mon estomac qui criait famine et le film de fin de soirée, pour me coucher tôt.

Je me suis éveillé dans la nuit, la silhouette de Lanny se tenait dans le cadre de la porte. Il ne disait rien. Malgré la noirceur, je pouvais voir qu'il était toujours nu. Sans dire un mot, il m'a rejoint dans mon lit et nous nous sommes
collés l'un sur l'autre pour se rendormir. Lorsque je me suis réveillé le lendemain matin, ma tête reposait sur son torse et il m'entourrait de ses bras.

- Avez-vous finalement baisé ensemble? Demandait Charlotte lors d'une visite.

Je ne répondais rien.

- Bien sûr! Dit Lanny en retournant regarder l'ennuyeux parcours de golf à la télé.

- Il était temps, répondit-elle en soupirant.

Dana et moi étions passés à d'autres partenaires. Mark était mon nouveau chum et il aimait bien rester à la maison pour regarder Lanny déambuler à poil dans l'appartement. Même que je crois qu'il venait ici plus pour ça, que pour baiser
avec moi! Mais au moins, je l'avais pour moi...

Il a même suggéré que nous tentions l'expérience à trois, mais ça ne s'est jamais produit.

Lanny essayait de me montrer à jouer au golf, et nous avions souvent des problèmes sur les parcours alors que nous avions l'habitude de jouer en short, le torse nu, loin des sacro-saints vêtements de golfeurs.

Les nuits où Mark ni Charlotte étaient à la maison, ou encore lorsque nous ressentions le besoin, l'un de nous se faufilait doucement dans le lit de l'autre, partageant ainsi notre besoin d'être ensemble.

Longtemps après que Lanny ait marié Hildy (lui et Charlotte se sont quittés alors que nous étions encore au collège), je le visitais et nous nous retrouvions à ma chambre d'hôtel ou encore dans un motel pour partager à
nouveau cette liberté que nous avions, notre amitié spéciale qui se poursuivait et assouvissant notre besoin de rapprochement que nous avions.

Je crois bien qu'un jour, Lanny et moi nous retrouverons ensemble de nouveau.
Je serais d'ailleurs heureux de l'aider à élever ses deux enfants. Mais d'ici là, je continue de me promener chez toi complètement nu, surprenant à chaque fois quiconque me visite de ma nonchalence.

J'attends toujours que Lanny utilise la clé que je lui ai donné et me rejoigne. Aussi certain que les garçons de fermes basculent les vaches, s'envoient les
moutons et jouent avec leur queue d'étalon, je suis certain qu'il me rejoindra... Un jour!
 


Mon ami aimes les grosses bites de black

 

Je m'appelle Maxime, J'ai 38 ans, et mon copain et moi avons l'habitude de réaliser des trios avec des hommes rencontrés sur le net, en général sur des sites d'échangisme gay fait pour se genre de rencontre; mon mec, Alexandre, n'a pas de tabous, il adore sucer de longues et belles queues, les engloutir au fond de sa gorge accueillante, sucer les couilles de bas en haut, lécher une bite comme une glace à la mangue; Il adore aussi se faire sodomiser, se faire enculer sauvagement et profondément, avec violence, tout en se faisant claquer les fesses comme un gros cochon pervers; et il aime par dessus tout avoir une bite dans sa bouche et l'autre dans son cul sa lui procure un plaisir intense, il a vraiment l'impression à ce moment là de se sentir chienne, ce qu'il recherche dans le triolisme.

Cela fait quelques années maintenant que nous pratiquons les trios, et au fur et à mesure de nos expériences, Alexandre a finalement porté son choix sur les hommes noirs (moi même étant de type caucasien), en général musclés, grands, puissants, athlétiques, et bien évidemment avec un sexe énorme ! (moi j’ai une bite banale dans les 16 centimètres… on peu pas tous avoir la teub a roco non !).

Je vais vous raconter notre dernière expérience qui date de quelques semaines, car
le fait qu'un mec s'envoie son petit copain de minet ça me fait bander, mais que plein de mecs se branlent en pensant à cette histoire ça m'excite encore plus !


Ce soir là, nous avions rendez-vous pour boire un verre, dans un pub, relativement discret, nous étions montés à l'étage, complètement désert, car peu de monde.

Alexandre portait un jean bien serré, pas de culotte, et un gode de forme évasée, un plug, glissé par mes soins avant de sortir dans son anus tout chaud, de manière à le dilater à l'avance, car Joey, le black canadien avec qui nous avions rendez-vous, avait un sexe de plus de 24 cm et plus de 7 cm en épaisseur, c'était colossal, et comme il avait l'intention de l'enculer, je préférais préparer le cul à Alexandre de manière à ce que tout se passe bien, même si il avait l'habitude d'en prendre des grosses dans le cul.


Nous étions donc en train de boire un verre, et tout en discutant de choses et d'autres pour faire connaissance, Alexandre commençait à écarter les jambes, et a se branler a travers son pantalon, de manière à montrer à Joey, assis en face, ca queue en train de grossir, une tache suspecte ne tarderais pas a apparaître… je connais mon Alexandre; Joey commença à ouvrir de grands yeux, et dut faire un effort incommensurable pour se retenir et ne pas se jeter sur lui et la baiser sur place; je voyais au travers de son pantalon que Alexandre lui faisait beaucoup d'effet, Il le remarqua également, ce qui ne manqua pas de l'exciter encore plus... on décidait alors de quitter ce pub pour rejoindre un hôtel ou nous avions réservé une chambre; arrivés dans la chambre, Joey et moi avons commencé à déshabiller Alexandre, langoureusement, puis sauvagement !! je commençais à sortir ma bite toute dure, et la glissait dans la bouche d’Alexandre, il s'empressa de me sucer comme un fou, essayant de l'engloutir entièrement, la prenant à pleine main, me massant les couilles énergiquement, les léchant, puis il me reprenait à nouveau en bouche... Joey, lui, avait enlevé le gode de l'anus a Alexandre, et commençait à l'enfourner dans son cul, jusqu'au bout, il était énorme, Alexandre commençait à gémir, à respirer fort, pendant que Joey allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, son anus était beant !!

 

Joey fit une pose et continua à lui perforer le cul avec le gode, et moi je lui bien chauffé par la pipe je lui fistais le cul, il devenait dingue en chaleur, il avait envie de se faire baiser comme une salope, Il était la comme une chienne, aux abois, attendant que l'on veuille bien le baiser encore plus fort, le prendre sauvagement, sans égards..

Je décidais que j'allais commencer, je fis signe à Joey de venir prendre ma place pour venir se faire sucer; Alexandre était toujours en position de levrette, pret à se faire démonter; Joey présenta sa bite, elle était énorme, Alexandre la regarda, et ouvrit de grands yeux émerveillés, puis se jeta dessus avec voracité et commença à la sucer comme un ouf !!

j'ai cru que Joey allait lui jouir tout de suite dans la bouche et l'inonder de sperme !! de mon côté, je commençais à baiser le cul a Joey, je mis du gel, lui massa l'anus, et commença à l'enculer, doucement, puis en accélérant... je sortais complètement, et rentrait d'un coup sec jusqu'au fond, ça glissait de plus en plus, son anus devenait béant, Joey et moi nous crions de plaisir, il faisait des mouvements de va et vient violents pour que je le baise plus vite et plus fort !! Et que ca bite s’enfonce plus profondément dans la gorge d’Alexandre. Je décidais de passer la vitesse supérieure et de l'enculer beaucoup plus vite et plus profond, pendant cinq minutes je lui démontais le cul ! je commençais à sentir que j'allais jouir, je suis sorti, l'attrapa par les cheveux et je lui éjaculais sur la figure, Il était comme en transes, et tout en léchant mon sperme abondant, essayant de tout prendre dans la bouche ! Joey joui dans la bouche d’Alexandre dans l’instant.

Joey encore dur et puissant retourna Alexandre et se mit à l'enculer lui aussi; je vis les yeux d’alexandre devenir exorbités, la bouche grande ouverte de douleur, du sperme ruisselant encore sur son visage, puis il finit par se détendre, Joey accélérait les mouvements, sortait, rentrait, sortait, rentrait ! sa queue était énorme, je me demandais comment il arrivait à tout rentrer !

La suite de ce qui se passa cette nuit là fut encore plus chaud que ce que vous pouvez imaginer, mais je peux vous dire que le cul d’Alexandre et le mien ont bien morflé… se Joey c’est une sacré épée.

 

Maxime

 

 

Rencontre chaude dans le bus avec Rachid

Bus pour rentrer a Nice. Je dois l’avouer j’ai pas trop d’expérience, j’ai juste sucé un ou deux beaux jeunes mecs pour voir la sensation que cela fait d’avoir une queue en bouche ; mais j’aime mater les beaux gosses qui passent.

Je suis pas contre réessayer a sucer une queue mais je pensais pas trop draguer, c’est pas mon style. Surtout dans le bus. Il faisait très chaud puisqu’on était au mois de juillet, c’est le mois où on bande tout le temps.. La trique perpétuelle. Alors, je matais comme ça. J’ai 19 ans, brun, mince, jean a la mode, tee-shirt noir, basket, et un blouson bleue clair.

Un beau minet a commencé à me mater discret. En passant. Puis il s’est retourné de son siège un peu, moi aussi. Je l’ai trouvé tout de suite a mon goût il m’a fait bander rien qu’a me regarder. Le genre 25 ans, un tee-shirt blanc un peu large, un short blanc, je regarde la couture d’un coup d’œil rapide, des boutons, on devine la queue, des jambes légèrement poilues, la peau mate et les cheveux crépus, un beur. J’ai mon cœur qui bat.

Il me regardait avec insistance, un petit sourire en coin, entendu, j’ai compris, je flippe. Y a pas grand monde dans le bus Il s’approche et me dit : - Salut. - Salut… - Tu vas où ? A Nice ? - Vi… et toi ? - Pareil. Ca tombe bien, on va descendre au même arrêt ensemble. - OK… On reste silencieux.

Personne devant.. personne derrière, il passe sa main le long de son mollet dénudé, doucement, il remonte sur la cuisse, je suis du regard, discret, il passe doucement sur sa bite, s’y arrête un peu. - Moi, c’est Rachid - Moi, jilou. – Mon ami est partie en vacances… - Ah bon. - Oui… sa fait longtemps que j’ai pas niqué. - Moi non plus… - Ca va être chaud alors ? - Hm…. Il repasse sa main sur sa cuisse, sur sa queue, un sourire complice, un petit coup de langue contre sa joue, j’aime être sucé ça veut dire, ok, ok… Enfin, Nice. - On va chez moi. - OK Rachid. Je le suis. C’est un petit bâtiment, il est au second.

On est tous les deux dans l’escalier. J’ai trop envie. Lui aussi. Il me prend la main et la pose sur sa queue, il bande, il murmure : - Tu vas me lécher, t’as une petite bouche bonne pour sucer… - Oui… - Ca me plait… je vais te la remplir. J’appuie encore plus contre sa grosse bite. Je sens les deux couilles bien lourdes qui se balancent, je passe ma main entre les deux, je remonte le long de la tige dure qui part sur la droite. - Les queues circoncises, t’as déjà essayé ? - Non. - T’as envie, hein ? - A mort… - Tu vas voir, c’est les meilleures. On rentre chez lui, vite fait, il a du mal a ouvrir la porte tellement il est excité et pressé. Pourtant, on décide d’attendre encore un peu. Il me propose une bière, on s’installent tous les deux sur le canapé de son salon. Il se déchausse, se caresse l’intérieur des cuisses et remonte jusqu’aux couilles, il passe sa main doucement, j’ai la bouche humide et le regard scotché sur sa main qui monte et descend.

Comme je me penche vers lui, on se roule une grosse pelle.. C’est vraiment chaud. Lui il pense qu’à enfoncer sa langue le plus profond dans ma bouche. Pour me chauffer. - Attends, j’ai mieux que la langue Jilou. Vite il enlève la ceinture tout en continuant à se caresser la queue. Je tire sur son short et arrive a lui enlever. - Vas-y toi aussi, enlève ton jean et ton tee-shirt. Je les arrache. Lui aussi. Il a la peau mate, le torse mince et sculpté. Je passe ma langue sur ses tétons délicats, je les entoure et les contourne et je descends jusqu’au slip : il est blanc, je m’use la langue contre l’élastique un peu puis je lui lèche l’intérieur des cuisses, à quelques millimètres de ses couilles poilues, je soulève l’élastique et laisse ma langue errer un peu. - Vas-y enlève ton slip, j’ai envie de te sucer maintenant. - Oui… Il baisse le slip me permettant de voir sa virilité.

Sa queue est bien droite, fine, deux couilles finissent de pendre, et un pubis brun bien fourni. Je me frotte un peu les joues contre les grosses couilles poilues, je les sens bailler, rouler, à deux centimètres de mes lèvres. Rachid se branle doucement. J’essaie de m’enfourner la longue queue fine. - Attends, profites de mes grosses couilles d’abord. Je les lèche lentement, jouant avec ma langue par petit coup régulier . J’en prends une en bouche, puis l’autre, puis les deux en même temps. Elles roulent sur mon palais et contre ma langue rose. - Vas-y, suce ma queue maintenant… et il dirige sa verge dressé vers mes lèvres entrouvertes, droites, pointées, je pense qu’il va m’éjaculer direct sur le visage, mais non, elle rentre un peu, juste le gland. Je m’enfile un peu, ma langue profite de l’aubaine : je tourne autour du gland suintant, joue un peu avec, je vais et je viens. - Attends, jolie minet, c’est pas sucer ça… on va augmenter la cadence. IL s’assoit sur le canapé. Ecarte bien les jambes. - Viens là. A genoux. J’exécute comme une chienne que je suis. Je reprends le gland et commence à l’enfoncer. Alors, Rachid me plante ses mains derrière la nuque bien serrés. - T’es prêt a rentrer dans un autre monde mon mignon ? Je vais te baiser la bouche.. tu vas connaître la sensation de se faire niquer en oral. – Hum ! Et il appuie un grand coup , sa queue vient toucher le fond de ma gorge, je râle mais je peux rien faire. Et il commence à me baiser la bouche, me prend la tête, la fait tourner, sa tige au fond de ma gorge, j’ai la bouche remplie à fond, sur les joues, sur la langue, sous la langue, bien profond. Je me retire un peu pour reprendre ma respiration. Je me redresse et le regarde. Il me mate avec un grand sourire. - Faut que tu la sentes entière, ok ? - Ok ? - Laisse toi faire mon jolie. Il la replante dans mes lèvres et il appuie doucement, elle rentre encore plus profond, j’ai l’impression d’un sabre qui me pénètre et m’écartèle littéralement , j’ai presque envi de vomir et je peux plus bouger mais je suis dur comme du bois. Je m’accroche à ses fesses, son cul est bandés et musclés, ses cuisses sont écartées au max.

Enfin, je suis planté sur sa bite et je sens ses couilles contre mon menton. - Voilà, profite un peu de ma pine… - … - Après, on va continuer autre chose. Il se retire. - Allez vite Jilou, enlève ton boxer, t’as chaud aux fesses… - Attends, je me suis jamais fait prendre par la. - Bah raison de plus, faut que t’essaies, tu vas adorer mon jolie petit minet puceau de l’anus. - Non… - C’est bon, fais pas ta vierge effarouché.. vu comment tu m’as bien sucer, ce sera de la rigolade de prendre ma pine dans ton petit derrière qui j’en suis sur n’attend que cela. – Je le sens pas. - Si, si, tu vas la sentir… Et même très bien la sentir. Et il se marre. - Enlève, ton slip, profite, si tu veux pas on arrête, mais je vais profiter de ta bite moi aussi. Il me dit ça sur un ton doux rassurant.. avec sa queue super tendue dans sa main. Je m’assoie à ses côtés et il m’enlève le slip. Il se met alors à me sucer la pine doucement. Lui aussi s’attarde sur les couilles et enfonce bien profond ma queue luisante de sa salive. Une de ses mains me caresse tour à tour le pubis et les abdos, l’autre, s’attarde sur les couilles, passe à leur base et commence à chercher mon cul. Jusqu’à ce que j’écarte bien les jambes. Il se mouille l’index d’une manière gourmande et égrillarde. - Attends mon minou, on y va cool, si tu veux plus tu me dis, on stop. - Ok… Il passe sa main sur mon trou du cul, s’y attarde, reprend de me sucer bien profond, je me retiens de jouir, j’attends, ça y est, son doigt est là… Dans mon cul, c’est chaud en moi. Il joue avec mon cul, délicatement. Il arrête de me sucer mais son doigt continue et il en enfonce un autre, moi, je râle, je peux plus m’empêcher de le laisser faire, j’écarte les jambes à fond, ses mains me caressent partout. Il me présente sa bite de côté. - Vas-y encore un peu, chauffe toi, prépare ton anus avec ta bouche… Il me l’enfonce super doucement, une minute pour qu’elle y soit à fond de ma bouche, je la sens collée contre le palais, j’ai les yeux mi-clos, et il continue à m’ouvrir le cul avec ses doigts inquisiteurs.

J’entends un petit déchirement, il a retiré sa main mais j’ai toujours la queue en bouche. - Vas-y mets moi la capote sur ma charmante queue. Avec sa tige bien profonde dans ma gorge, je peux même pas répondre, je lui prends le condom des mains, je l’enfile sur le long de sa pine, en massant au passage le gland, la veine, jusqu’à ses boules gonflées de suc. - Tu vas apprécier, on y va tranquillement… - d’accord dis je dans un souffle - Tourne toi.. montre moi tes belles fesses de minet sexy. Je me retourne à son invite, sur le bord du canapé je me positionne alors que je sens ses deux mains qui m’agrippent fermement les hanches et les amène vers lui. Je suis fait comme une dinde je ne peu plus m’échapper , je me dis, je vais y passer il va me faire reluire le petit conduit.

Son gland vient cogner mon trou du cul, il l’enfonce un peu, une deux, trois fois, le cale bien dans l’anus. - T’es prêt a la prendre ? – je pense oui.. - On y va mon beau mec… Ses mains se crispent sur mes hanchent, il les tire et file un bon coup de rein. Putain, je la sens qui s’enfonce bien profond dans mon anus. Je peux même pas m’empêcher de crier de douleur trouble. Il laisse sa queue un peu au plus profond de moi. Je râle mi douleur mi plaisir. Je sens ses couilles sur mes fesses, c’est bon. - On continue mon minet… Et il se met à limer ferme, un coup bien fort et profond, des petits coups tranquilles, un gros coup fort.. Pour bien me chauffer. Il adore m’entendre geindre, lui aussi : - Ouiii, c’est bon, quel beau cul et qui aime bien se faire reluire en plus… Quelques minutes plus tard, je suis bien astiqué et effondré de fatigue le cul en compote mais satisfait. Je suis trempé de sueur et lui aussi, lorsque je me tourne, je vois son torse tendu. - Je vais jouir maintenant. Retourne toi vite mon petit cochon. Il arrache la cho7, la jette, me prend la nuque et m’enfonce sa pine dans la bouche. Deux trois coups, se retire, se branle et éjacule joliment sur mon torse imberbe. Moi aussi je jouis a mon tour, j’attendais que ça pour me vider. Je m’essuie un peu. - Repose toi un peu mon mignon, tu me re-pompes le dard dans 5 minutes et je te rembourre ton petit cul.. Apres je te raccompagne au bus.

 

Jilou

 

Sous la douche du vestiaire du stade je lui asperge le visage de sperme

 

Tout c’est passé un beau mercredi de juin. Comme tous les mercredis, j’étais sur le terrain de rugby de la petite équipe de mon village. Perturbé par le demi de mêlé de l’équipe adverse, je n’ai pas très bien joué. C’est pour cette raison que Etienne un garçon sympa qui nous fait office d’entraîneur m’a fait sortir. Un dernier petit regard vers le rempart de l’autre équipe et je suis rentré au vestiaire.

J’étais seul dans le vestiaire et j’allais pouvoir prendre ma douche tranquillement j’étais moite j’avais eu bien chaud . Je me suis donc foutu a poil : godasses, maillot, short, chaussettes … j’en était au caleçon. L’esprit toujours rempli par l’image du beau apollon de l’équipe adverse que je n’ai jamais connu, je sentais bien la petite bosse qui déformait mon slip.

Ca m’était déjà arrivé une fois auparavant dans le vestiaire. Mais entouré par mes coéquipiers, un peu honteux, j’avais attendu que ça se calme pour me mettre nu. Mais là, j’étais seul dans le vestiaire. Je décidai donc le laisser tomber mon slip, essayant de penser à un autre sujet pour éviter une plus grande érection.

Je pénétrai dans les douches et commençait a faire couler l’eau. Le jet, puissant m’aspergeait la nuque, cela me procurait beaucoup de plaisir. Je commençai à me nettoyer de bas en haut. Pendant que je me mettais du savon liquide sur le torse, je sentais que mon érection se faisait de plus en plus forte. Je baissai alors les yeux et observai, un peu perturbé, la lente montée de mon sexe rouge et gonflé. Lorsqu’il toucha mon nombril, je m’aperçu qu’il serait difficile de perdre cette érection digne du plus viril des étalon.

Après tout, à quoi bon s’enlever un plaisir : j’étais seul, tranquille sous ma douche. Je me retournai afin de placer ma verge sous le jet de la douche tiède. Je caressai alors lentement mes bourses gonflées de suc. La douche était bien chaude et cette chaleur m’excitait terriblement l’esprit et le gland. Je montai mes doigts et après la bonne quinzaine de centimètres de plaisir, j’atteignis mon gland. Il était dur, et sensible a chaque jet de douche qui tombait sur lui.

J’entrepris alors une chose qui m’étonna : je satisferais bien cette érection. Une petite masturbation rapide m’aurait fait le plus grand bien. Etant donnée la situation, le lieu, la chaleur environnant, je crois que j’aurais pu régler très vite l’affaire. Je ne suis pas éjaculateur précoce mes amants vous le dirons mais quand je suis excité comme cela, je peux aller très vite et comme dans ses cas la il n’y a que moi a satisfaire.. pourquoi se perdre en vil attente. En plus, une chose très importante m’apportait encore plus de stimulation : j’entendais les gens crier à deux mètres de moi.

 

Ce sentiment de ne pas être seul est extraordinaire lors de la masturbation solitaire. La dernière fois que j’ai eu ce sentiment, c’était dans un centre hippique : voir autant de jolies minets sur des chevaux me faisait beaucoup d’effet. Mais prétextant une envi pressante j’avais été m’isolé dans les toilettes du centre hippique. Je n’avais pu résister et je m’étais lancé dans un raid solitaire. Ou plutôt : une raide solitaire. J’entendais les gens qui parlaient dans le couloir, à à peine dix centimètres de moi. J’avais vécu un formidable moment et j’avais éjaculé timidement mais avec vigueur pour ne pas repeindre les parois des chiottes.

Mais revenons dans le vestiaire du stade. Mes souvenirs furent interrompus par le grincement de la porte qui s’ouvrait : c’était un de mes coéquipiers Xav, également remplacé. Je plaçai immédiatement ma main et mon gant devant mon sexe. Il ne vit heureusement pas la dureté de celui-ci. A son tour, il se déshabilla. Lorsqu’il enleva son caleçon, le contraste me frappa : entre la grandeur de mon sexe au garde-à-vous et la petitesse de son sexe a peine formé. Il avait 18 ans, comme moi, mais son pénis mesurait maximum 5 centimètres. J’étais souvent attiré par les sexes des garçons qui se douchaient avec moi et je préférais les petits. Il entra à son tour dans la douche et alluma celle en face de la mienne. Il me dit quelques mots dont je ne me rappelle plus.

Lorsque je laissai tomber ma bouteille de shampoing, je m’abaissai pour la ramasser et senti mon gland effleurer mon ventre : une sensation très agréable. Tellement agréable que j’oubliai de remettre ma main pour cacher mon appendice préféré. Mon ami me regarda, gêné et ne sachant que dire. Il prononça juste ces deux mots : « belle bête !!!». Moi, honteux, je me contentai de détourner le regard. C’est à ce moment qu’il versa une goutte de shampoing dans ces cheveux et qu’il se les lava. Ses yeux fermés, il m’était plus simple d’observer son sexe. Et c’est alors que je le vis s’allonger et s’élever lentement. Il était certainement excité par la vue de mon sexe en érection. Toujours est-il qu’il ne s’en rendit pas tout de suite compte.

C’est seulement ses yeux dégagés et ouverts qu’il s’aperçut de la chose. « Ex æquo », lui dis-je en plaisanterie. Pour profiter de cette occasion, il me proposa une petite gâterie. Poliment, j’acceptais l’aubaine bien que je pensais encore a l’adversaire qui ne connaîtrait jamais mes caresses buccales, la situation était vraiment super excitante. Xav a quatre patte devant moi en train de me lécher la queue de belle façon. J’étais déjà super excité donc je n’ai pas vraiment profité de la pipe.. quelques secondes plus tard après avoir reculé la tête de Xav, j’aspergeait son visage de mon sperme a grosses giclés poisseuse.

Après nous être nettoyés je proposais a Xav un verre au troquet du stade pour le remercier de cette joyeuse et impromptu pipe.

 

Bernie

 

Partie a trois hot dans le centre commercial

Pour moi le coin top pour draguer cela reste les cafétérias des centres commerciaux de mon coin . On fait toujours d’excellente rencontre.. C’est d’ailleurs grâce a une de ses rencontres que j’ai découvert le site polisson.fr ou va paraître cette petite histoire vrai.

Un après midi de semaine alors que je sirotais un café a la cafétéria du casino du centre commercial de Rosny (je suis commercial pour une boite de cosmétique et je suis tout le temps fourrer dans des officines de produits de beautés des centres commerciaux).

Je matais donc aux alentour d’un œil distrait à la recherche de beaux mâles en rut, comme sœur Anne ne voyant rien venir je me décidais a me balader dans les allées du centre l’esprit aux aguets et les couilles serrés dans mon slip.

Je croisais de nombreux hommes, plutôt âgés, qui me dévisageaient ; bon l’aprem faut pas s’attendre a croiser du jeune minet avide de foutre a tout les coins de magasin…

Je descendais faire un petit tour du coté du parking et là, surprise, un tas de jeunes mecs tous plus bandants les uns que les autres tournaient aux alentours de l’escalator. L'un d'eux attira d'emblée mon regard : il portait un jean qui mettait en valeur son cul musclé et bombé et un tee-shirt blanc très moulant qui laissait apparaître un torse divin...

Je me suis arrêter pas trop loin comme si j’attendais quelqu’un; et j'ai attendu. Mes yeux croisaient souvent les siens : le petit salaud avait bien saisi mon objectif mais il s'amusait à me faire languir et jouait un petit jeu qui ne laissait pas indifférent ma bite...

Quand il s'aperçut que ma braguette était au bord de l'explosion, il dit a ses potes qu’il avait envi de pisser et fit quelques pas en direction d'un endroit isolé.. Une suite de couloir interminable qui permette de passer sous le centre commercial sans avoir a se taper toutes les allées des boutiques. Toujours d’un air dégagé je faisais celui qui en avait marre d’attendre et partie a la suite du jeune minet bandant...

Dans l’encoignure d’une porte j’entendis un soupir.. je jetais un œil, il s'était installé la a même le sol et avait quitté son tee-shirt : son corps d'athlète brillait sous les néons d’une sorte d’hall on devait être entreposé les marchandises le matin avant dispatche dans les différentes officines du centre. Il se passait les mains sur les pectoraux et se caressait les abdos.

Puis sa main gauche vint titiller ses tétons pendant que sa main droite allait et venait sur son sexe : je distinguais largement à travers son jean une queue épaisse et sûrement très longue. Il me fit signe d'approcher... Arrivé à sa hauteur, il me prit par la taille et se mit à me lécher l'oreille puis sa langue chaude vint couvrir ma nuque... Il enleva ma cravate et ma chemise pourtant déjà largement ouverte sur mon torse.

Il me lécha les tétons, l'abdomen et plaça sa langue sur mon pantalon, à l'endroit précis où ma queue formait une véritable montagne !


Lentement, il descendit mon pantalon, il fit rouler mon slip le long de mes cuisses et s'empara de ma bite pour la sucer pendant de longues minutes. Langoureusement, il s'affairait sur mon engin gonflé à donf... C'est alors que je sentis des mains se poser sur mon cul : un autre mec, m’avait suivi, il nous observait certainement depuis longtemps...

Il ne cessait de palper mon cul ferme et après cette étape de manipulation, entreprit de me travailler plus en profondeur ... Pendant que le premier s'obstinait à me lécher le sexe, le bel étalon enfonçait l'un après l'autre ses doigts dans mon trou humide. Sans plus attendre, il enfonça sa queue dans mes entrailles : un râle de plaisir m'envahit : entre la fellation de mon premier hôte et la pénétration sauvage du second, je n'avais qu'à me laisser aller à la jouissance... Je ne tardais pas à prévenir mes camarades de jeu de la montée prochaine de mon sperme chaud.

Le rythme de chacun se fit plus rapide et en même temps nous éjaculions : moi dans la bouche du premier mec, le second dans mon cul. Nous avons alors changé de position, et j'ai englouti dans ma bouche les deux bites tendues vers moi. Le premier gars avait un sexe énorme (24 cm m'a-t-il avoué), le second avait une bite moins longue (19 cm quand même...) mais tellement épaisse que j'avais beaucoup de mal à reprendre mon souffle. Il n'a pas fallu beaucoup de temps à mes deux partenaires pour décharger leur foutre chaud et épais dans ma bouche ravie de laper autant de substance virile en une seule fois.

Mais il était déjà presque l’heure de mon rendez vous.. un étape dans les toilettes du centre pour reprendre face humaine et j’étais partie pour mon dernier rendez vous de l’après midi, mais j’avais déjà bien gagné ma journée. J’avais en poche deux numéros de téléphones et déjà en perspective de putain de partie a trois ou nous allions nous régaler sévère.

 

Fabrizio

 

Fou de fringue et de sexe

 

Je suis dingue de fringue, des sages et aussi des excentriques cela peut aller du cache-sexe au harnais, en passant par la salopette. J’aime bien faire les boutiques et justement je suis dans en train de faire un peu de recherche dans une petite boutique au puce a la porte de Clignancourt a Paris.

Le vendeur qui travaille ce jour-là est un mec de la fin trentaine. Il a le look parfait pour l’emploi : grandeur moyenne, plutôt sec mais pas maigre, crâne rasé, barbe de deux jours, yeux bruns. On peut dire qu’il est plutôt beau garçon se mec. Il porte des pantalons de cuir noir. Son pantalon est assez ajusté, de sorte qu’on devine bien la bosse que forme sa queue sur le devant. De dos, on aperçoit de belles fesses assez bombées, bien moulées dans le cuir.

Je me promène lentement entre les rayons, regardant négligemment les divers articles. Le beau vendeur vient vers moi.

- Tu cherches quelques chose de précis? Me dit-il, avec un sourire.

- Oui, des pantalons.
- OK, quel style?
- Comme des jeans, mais en cuir.

Il me montre ce qu’il a en magasin. Le modèle me plait vraiment. C’est exactement ce dont je rêve dans mes fantasmes. Le vendeur me demande alors si je veux les essayer. Ça y est! C’est exactement ce que je voulais! Essayer des pantalons de cuir sans avoir à les acheter pour autant! J’aimerais bien les essayer.

- Quelle taille? Me demande-t-il.
- Je porte normalement du 32 mais je veux quelque chose d’assez ajusté… Tu comprends?
- Bien sûr! C’est ce que veulent la plupart des clients. Je te propose deux points plus bas. Essaie le 30.

Je prends les pantalons qu’il me tend et je me dirige vers la cabine d’essayage. Je retire mes jeans et j’enfile les pantalons de cuir. Avant de partir de chez moi, j’ai pris soin de mettre un g-string rouge en satin, question d’amplifier le plus possible le contact de ma peau avec le cuir et de mettre en évidence ma bite. Je réussis à enfiler complètement le pantalon… Ouf! Il est quelque peu difficile de fermer la fermeture éclair mais j’y parviens. En me regardant dans le miroir de la cabine, je constate que le pantalon de cuir est hyper serré, exactement comme je le voulais. Sur le devant, on devine parfaitement la forme de ma queue. Je sors de la cabine. Le vendeur vient me rejoindre.

- Et puis? Me demande-t-il sans trop me regarder.

- Je me sens bien. Mais j’aimerais bien me voir de dos.

Le vendeur me regarde alors.

- Wow! C’est parfait. Tu es très séduisant. Ce pantalon est taillé sur mesure pour toi.

- Merci. As-tu un miroir pour que je me vois les fesses?

- Oui, juste ici.

Je me regarde alors le dos. Jamais je n’avais vu mes fesses aussi apparentes dans un vêtement. Le vendeur me regarde sans relâche. Je me penche pour bien essayer le pantalon. Une fois accroupi, la bosse que forme ma queue est encore plus apparente, ce qui me fait bander. Je me relève. Je demande alors au vendeur :

- Dis- le moi franchement, est-ce que ça me va bien?

- Oui, très bien. Je te le jure.

- Je veux quelque chose de sexy. Qu’est-ce que tu en penses?

- Je te dis qu’on voit très bien toutes tes formes…

En disant cela, le vendeur s’approche de moi et passe sa main droite sur le bas de mon dos, s’attardant sur la couture entre mes fesses. Je frémis à sentir sa main palper mon corps.

- Ce pantalon te va très bien, les coutures sont ajustées à ta taille et mettent en évidence ton corps. Juste à toucher, on voit bien que tu es à l’aise là-dedans.

- Oui, je me sens très bien dans ce pantalon. Juste le porter et je bande…

- C’est ce qu’il faut! Me répond le vendeur en ricanant.

- Est-ce que ça paraît?

- Heu… Je t’avoue qu’on voit bien les formes de ta queue, mais je ne peux savoir si elle bandée ou non… Ça dépend des mecs, comme tu sais sans doute… Encore là, il faudrait que je touche pour voir si c’est parfait.

- Vas-y, je veux être sûr de mon achat.

Le vendeur touche alors à la bosse que forme ma queue. Il la palpe. Je le laisse faire. Ma queue bande de plus en plus. Je remarque que sa queue a aussi changé de forme sous son pantalon de cuir. Il me dit :

- Je crois bien que tu es bandé. Ta queue est bien dure.

Il continue à palper la bosse formée par ma queue. Je ferme doucement les yeux et j’apprécie chaque moment. Le vendeur est assez près de moi. J’avance lentement ma main vers le bas de son corps. Je lui touche aussi les formes de sa queue. Il bande. Je le caresse. Nous sommes tous les deux en train de nous caresser, en pantalons de cuir, en pleine boutique. Toutefois, nous sommes seuls. Il n’y a pas d’autres clients. Je sens qu’il bande fort sous mes caresses. De mon autre main, je lui caresse les fesses. Il se laisse faire. Il s’approche la tête de la mienne, sa langue lèche le bas de mon cou, il me mordille le lobe de l’oreille gauche et murmure :

- Si tu veux mon jolie minet, j’appelle un collègue pour me remplacer et on va continuer de s’amuser dans un coin tranquille.

- D’accord.

Il me laisse et va appeler un collègue qui descend immédiatement le remplacer. En arrivant, le jeune homme aux cheveux blonds jette un regard complice à mon vendeur qui lui répond par un clin d’œil. Ce type de service personnalisé semble une habitude dans ce commerce!

Le vendeur revient vers moi, me prend par la taille et me dirige vers une porte qui donne dans l’arrière boutique. Là, nous nous trouvons au travers des outils pour fabriquer le cuir et des dizaines d’échantillons et retailles de cuir.

Le vendeur ferme la porte et s’approche de moi. Il me prend par la taille et m’embrasse. Nos langues se touchent pendant que nos mains nous caressent mutuellement. Je sens toutes les formes de son corps, sa bite contre la mienne, toujours dans nos pantalons de cuir. Il fait alors un mouvement de va-et-vient de son bassin contre le mien. Nos deux bosses se frottent l’une contre l’autre. C’est génial!

Après quelques minutes de ce petit jeu, il dégrafe mon pantalon et insère sa main à l’intérieur. D’un coup, il descend le pantalon à la hauteur de mes genoux. Je suis en g-string satinée de couleur rouge. Il le palpe vigoureusement avec sa main droite tandis que la gauche caresse mes fesses. Il m’embrasse.

Je fais la même chose que lui. Je baisse son pantalon et je découvre que le mec porte aussi un g-string, mais de couleur blanche. Je le caresse. Nous continuons à nous frotter mutuellement, tous les deux en g-string. Je le fais tourner, son dos face à moi. Il a de magnifiques petites fesses qui gobent le mince fil de son g-string blanc. Je m’approche de lui, je colle ma bite entre ses fesses et je lui pince les mamelons par derrière. Je mordille ses deux oreilles à tour de rôle. Mes mains descendent caresser la bosse formée par son g-string. Mon mec est bandé au max. Moi aussi d’ailleurs et il semble le sentir entre ses fesses.

Je m’accroupis et je baisse son g-string. Le mec se penche, écarte les fesses avec ses mains. J’y glisse ma langue et commence à lui embrasser l’anus. Hmmm… il goûte bon. Ma langue force sa rosette. J’insère le plus loin possible ma langue dans son cul. Je sens que le mec aime ça. Je lui prend la queue et la ramène par derrière, entre ses fesses. De cette manière, je peux lécher sa queue puis son cul. J’adore cette position. Je sors ma queue de mon g-string et je commence à me masturber pendant que je continue mon travail sur son arrière-train.

Soudainement, le mec se tourne et me présente en face sa grosse bite bandée. Je vois qu’il mouille.

- Allez, suce moi à fond, mec. Mange ma queue; me lance-t-il sur un ton très viril.

J’ouvre la bouche et il y fourre sa bite. Elle est énorme. Il la pousse jusqu’au fond de ma gorge. Je le pompe du mieux que je peux, en m’attardant sur la petite fente au bout de son gland. Je le chatouille avec ma langue. Pendant ce temps, je continue à me crosser.

- Ahhhh… Je vais jouir mec, je vais jouir…

Je retire alors la queue du mec de ma bouche et je continue à le lécher, tout en le masturbant au même rythme que je me masturbe moi-même. Je vois son gland tout mouillé devenir rouge. Le gars éclate! Il éjacule puissamment. Sa semence vient se jeter sur ma figure, sur mes yeux, sur mon nez, sur ma bouche. Je passe la langue autour de ma bouche pour bien le goûter.

Quelques secondes plus tard, j’éjacule à mon tour sur le plancher de l’arrière boutique.

Je lèche la queue du mec pour bien l’essuyer. Ensuite, il remonte son g-string, ses pantalons et fais quelques pas en arrière. Il prend une serviette et il me la lance.

- Tiens, essuie-toi et le plancher avec. Le patron n’aime pas qu’il reste des traces…

Sur ces mots, il quitte la pièce et retourne tout bonnement à son travail.

Quant à moi, je m’essuie la bite. J’essuie ensuite le plancher. Je remets mon g-string et je remonte le pantalon de cuir. Il faut bien que je ressorte de cet endroit! Je retourne dans la boutique. Il ne reste que le collègue de mon vendeur. Celui-ci semble disparu. Je retourne chercher mes vêtements dans la cabine d’essayage. Je ressort en tendant les pantalons de cuir au jeune vendeur aux cheveux blonds. Je lui dit :

- Tu peux les remettre sur le support. Ils ne font pas…


Ben

Un nageur fripon m’encule sous une cascade

Le mois d’août était chaud.. Très chaud même 34° sous le parasol, j’étais en vacances dans un petit village du pays basque ou normalement il y a toujours se petit micro climat qui fait qu’il faut moins froid ou plus chaud suivant la saison, mais manque de veine cette année se n’était pas le cas.

J’étais donc allongé bien isolé dans une petite crique avec ma serviette mon parasol et mon huile de bronzage.. Quand la chaleur devenait trop étouffante j’aillais faire quelques brasses et c’était reparti pour une séance de brûlage intégral !

Pour résumer je glandais et je commençais à m’emmerder ferme, je pensais que j’allais me faire un plan boite de nuit avec un petit couple avec qui j’avais sympathisé a l’hôtel ou j’étais descendu.

Et la je vois arriver dans ma petite crique isolée un homme.. Quand je dis un homme c'était un beau massif de muscle dans les 1m85 voir 90 avec un corps de nageur, un torse et des abdos parfaitement bien dessinés et imberbes, des cuisses bien faites, un cul à se damner et en plus a en juger dans son slip de bain noir tout moulant il y avait également du répondant.

Il m’a fait un petit signe de la main, m’a souris et a plongé dans la mer, après quelques secondes il a réapparu à la surface de la mer et s'est mis a nagé. L’invite de l’eau fraîche se fait urgente. Décision prise, je me levais a mon tour et courrais vers la mer.. J’avais dans l’idée de le mater l'air de rien... Mais pris qui croyait prendre lui aussi avait le coup d’œil et il avait un petit peu capter mon manége.

Il c’est arrêté de nager a ressorti sa tête de l'eau et m'a regardé en me faisant un grand sourire, j’étais un peu voir beaucoup gêné, je ne savais plus où me mettre, et a par prendre mon matériel et foutre le camp de la crique je n’avais pas beaucoup de solution.


Je me suis remis à nager, lui de même et nous n’arrêtions pas de nous croiser en nous souriant a chaque passage.

Las de se jeu je décidais de partir à la petite chute d’eau qui surplomb la crique un maigre ruisseau vient se jeter la et fait office de douche a défaut d’être une cascade convenable. Lui me fit un petit signe de la main et continua a nager. L’eau était fraîche, c’était très agréable d’être fouetter par cette eau glaciale par rapport à l’air ambiant, pour faciliter l’évacuation des grains de sable et dans le but de rincer mon maillot de bain j’étais nu.

Je n’avais rien entendu le bruit de la cascade et l’eau tombant sur ma tête ne m’avait pas prévenu quand je sentis à un moment des mains se poser sur mes épaules, je me suis retourné un peu inquiet, et la devant moi j'ai vu mon beau nageur.

Il m'a mis un doigt... sur la bouche pour me faire taire avant que j’ai émis un son et m'a embrassé dans le cou et mon dieu ! Quel baiser, il s'est mis à me frotter le thorax comme pour me savonner partout sur le corps, j’étais troublé. Se joli apollon sorti de nul part était un don divin fait a moi homme abandonné dans cette terre inhospitalière d’hétéro. Vaincu j’ai accepté son baisé, et nous nous sommes embrassé à pleine bouche, les secondes passant les caresses devenaient plus précises et plus intenses.

Nous rentrions dans le vif du sujet.. Il m'a caressé la queue et les couilles doucement et tendrement et est descendu en m'embrassant sur le torse, le ventre et enfin la queue qu'il a engloutit dans sa bouche Il a fait tourné sa langue autour de mon gland qui a commencé à bien durcir j’étais vraiment ravi de cette après midi.

De façon naturelle mais experte il s'est mis à me sucer comme un pro, le sexe.. Ensuite les couilles.. Le long de la verge.. Le gland et ainsi de suite, mais cela n’avait rien de mécanique c’était beau. Avec son autre main il caressait mon anus qui ne demandait qu'a s'ouvrir et il y a mis un doigt, puis deux et a commencé à me doigté tout en me sucent.

C'était GENIAL... J’étais aux anges


Il suçait tellement bien que j'aie fini par lui venir dans la bouche, en trois rapides giclés. Il ne recracha pas mon sperme mais l’avala, je l'ai relevé et je lui ai roulé une pelle pour mélanger le reste de foutre entre nos deux bouches.

Je l'ai ensuite branlé doucement, je voyais son désir monter.. Et le mien reprendre, la tête contre la falaise j’ai offert ma croupe. Son sexe m’a pénétré après qu’un préservatif et mystérieusement apparu sur sa verge. Après de lents vas et viens dans mon cul j’en senti qu’il allait jouir. Je me suis dégage et je l’ai branlé jusqu'a ce qu'il jouisse dans ma main, j’ai léché et avalé le sperme sur mes doigts.

Après nous nous sommes frotté mutuellement avec un peu de mon foutre, et nous nous sommes rincés, et nous nous sommes embrassés longuement sous l'eau de la cascade qui coulait sur nos corps.


Après, chacun est parti de son coté pour poursuivre ça journée. Mais je n’avais qu’une hâte c'était de retourner demain à la crique pour retrouver mon mystérieux et viril nageur.

 

Brice

 

Cul et bouche baiser par un latin

 

Je devais partir pour Madrid et hélas à cause des conditions climatiques impossible d'y aller par avion.. J'étais dans l'obligation de prendre le train.

Donc arrivé à la gare a 22h, je trouve mon train couchette. J'arrive dans on compartiment, ma cabine est de deux couchettes.. Ah avec ma chance je vais me retrouver avec un ronfleur.

Je commençais par m'installer tant bien que mal quand j'entendis du bruit qui venait de la cabine de toilette juste dans l'angle de la cabine, je suis toujours épaté par le nombre de truc qu'ils peuvent mettre dans un endroit aussi étroit.

Sur le moment je ne prêtais pas attention au bruit venant de du cabinet, je finis de m'installer en me demandant qui pouvait bien partager la deuxième couchette ?

Je m'installais dans mon lit en espérant pouvoir m'endormir rapidement, qu'il fut ma grande surprise quand je vis la porte du cabinet de toilette s'ouvrir sur un super mec, un vrai bogoss musclé et bronzé, sans doute un espagnol, son corps superbe se dessina dans l'ouverture, ce super spécimen masculin n'était revêtu que d'un boxer il avait des jambes musclées et poilues c'était vraiment d'un érotisme qui ne me laisse pas indifférent la lumière qui venais de beau male rendait encore la situation plus excitante.

Une bosse commencer à ce voir dans mon lit celui-ci s'approchât de moi et me dit:

- bonsoir moi c'est Alphonso et vous c'est comment ?

je voulus lui répondre mais aucun son ne sorti de ma bouche tellement je suis subjuguer et excité par beau mec raclant ma gorge j'arrivais à lui répondre

- bonsoir moi c'est maxime, enchanté de vous connaître alphonso

Avec une voix remplis d'émotion, que alphonso perçu très bien.

Celui-ci profita de ce que mon corps trahissant mes émotions pour s'asseoir sur mon lit. Nous échangeâmes les banalités qu'impose cette situation.

alphonso tout en parlant ne pus que constater qu'une bosse c'était formé et commença à passer ces doigts dans mes cheveux qui eu pour effet de m'exciter un peu plus, Je me rendit compte que c'était alphonso qui pris en main mon désir, moi qui suis plutôt maître de mes pulsions et qui d'habitude c'est moi qui prend moi-même en main ce genre de jeu érotique.

Une petite voix intérieure me dicta de me laisser faire que je pourrais en apprendre plus avec se superbe brun beau comme un apollon grec, quand je repris mes esprits alphonso continuer à me dire des choses, que je n'aurais imaginé que puisse me dire un inconnu dans un truc roulant vers Madrid et quelques minutes après notre rencontre

-Tu bandes dure mon cochon, je suis flatté que je te fasse cet effet.

Je mis quelque seconde à lui répondre car d'habitude c'était moi qui commence à ouvrir les hostilités, mais quel plaisir que se soit quelqu'un d'autre qui le fasse.

- Oui tu me rends dingue, tu sais bien faire réagir mon corps à tes caresses.

Il saisit avec une main mes cheveux et me força à l'embrasser, il me rentra sa langue à l'intérieur de ma bouche, Il fit le tour de ma langue avec la sienne et quand il voulut arrêté le baissé torride il mordis ma lèvre cela à eu pour effet de faire dresser les draps qui ce trouver sur moi en forme de chapiteau tellement ma queue était dure.

Sans que je mis attende, il tira brusquement sur les draps et les fis valsée jusqu'au pied de la couchette. Je me trouvais tétanisé tellement son geste fut brusque. Le voici qui ce jette sur ma queue tel un rapace sur sa proie, il aspira ma queue dans sa bouche et pratiqua une sucions savante qui me coupa la respiration.

Tout en aspirant ma queue il titilla le bout avec sa langue qui me fit passer un fluide glacial dans mes reins, il continua se traitement pendant quelque minute qui pour moi m'ont s'embler durer des heures. Je me die en moi même voila un homme qui connaît bien son sujet .

Je commençais à laisser trahir ma soumission, ainsi que mon plaisir qui ne pouvait que monter, vu le travaille qu'il produisait sur ma queue. Il s'arrêta aussi vite qu'il c'était acharné sur celle-ci. Il me regarda avec un regard qui voulait en dire long sur le supplice qu'il avait décidé de m'appliquer.

 

-Alors Alphonso ça fait quoi de se faire traiter ainsi par un inconnu, me dit il

-Te dire que je reste de bois ça serait insulter ton égaux, je n'ai qu'a me laissé faire car il me semble que tu es un expert dans ce domaine.

J'avais à peine finie de dire ces mots qu"il se dressa au-dessus de moi qui était toujours coucher, pris ma pine suintante en main le colla contre son anus et se laisse tomber sur mon sexe sans ménagement, je ressentis une douleur indescriptible. Mon prépuce était en feu.

Après un moment ou il était rester immobile sur moi ma bite entière dans son cul, je croisais son regard qui en dit long sur sa joie de me dominer. Il commença son vas et vient, avec une opulence à varier le vite et le lent pour faire monter mon plaisir et le stopper aussi vite qu'il était monté, un rire vient de déchiré le silence, on aurait dis un rire d'une personne qui savouré son manége de coquin. Je n’ai pas une énorme bite mais un bon 18 centimètres et il se l’était fourré a sec sans problème.

Il appliqua se traitement pendant un long moment et quand il sentit que j'allais jouir il se retira de la position qu'il avait prise et revient vers moi pour me refaire le même baiser torride du début. Cella à eu pour effet de me faire crier un NON qui venait du fond du coeur. Il me surprit une nouvelle fois quand il ma somma un ordre sec:

_Maintenant léché moi toute ma sueur petite salope.

Il m'attrapa par les cheveux et me mis le nez sur sa queue qui était énorme, je mis ma langue en mouvement et il tenait toujours mes cheveux. C’est comme cela qu'il guida ma langue là ou il voulait, il dirigea son regard vers mon sexe pour mieux se rendre compte de mon plaisir. Il ne me fallut pas long temps pour de nouveau bandé. Las de se jeu a priori il me pris par les deux oreilles et commença a me baiser la bouche. Je pensais impossible d’avoir cette longue queue intégralement dans le bec, mais je me trompais.. Mi suppliant les yeux pleins de larme, j’arrivais a peine a respirer et je bavais sur sa longue tige, j’étouffais et lui intraitable m’enfonçais des gros coups de sa grosse bite dans le gosier.

Je sentis sa grosse queue commencer a vibrer, il redoubla ses coups de queue et je senti de long jet de sperme passer directement du fond de ma bouche a mon estomac sans que j’ai besoin de déglutir.

Il relâcha mes cheveux et parti vers la cabine de toilette qui me laissa le temps de reprendre mes esprits et mes sensations corporelles.

Quelques instant plus tard il ressorti de la cabine, j’étais pantelant sur le lit, sans cérémonie il me retourna me fit soulever ma croupe et fis rentrer sa bite dans mon trou sans ménagement, je m'entendis crier de douleur d'abords, puis celui-ci se transformât en complainte du plaisir., j’étais devenu une vrai chienne.

Une fois au fond il s'arrêta pour reprendre son souffle et aussi pour laisser le temps a mon petit trous de se faire au passage de sa grosse queue. Je m'entendis, lui dire.

  • Oui, vas si pilonne-moi, encore.

Ces mots on eu pour effet de le relancer à faire coulisser sa queue dans mon trou avec acharnement. Je m'entends lui dire a nouveau

- Oh oui vas-y, vas y bourre-moi cochon d’enculé

Il continua a me labourer et bientôt je senti un liquide m’envahir le fondement, sous l’effet de la sensation je joui a mon tour sur le drap.

Nous retombions ensemble sur ma couchette épuisée par ces jeux érotiques. Il se blotti contre moi et s'endormis avec sa queue nichée encore dans mon petit trou.

Le reste du voyage se fis endormis, jusqu'à l'arrivé ou la je me suis réveillé seul car tous ce-ci n'était qu'un rêve

 

 

Une langue qui me lèche le cul

 

Ca a commencé vraiment bêtement il m’allumait depuis des semaines nous étions tout les deux moniteurs dans un camp de vacances organisés par la marie de sarcelle, j’avais pris se taf d’été pour me faire du blé a la place d’aller a Ibiza avec mon ami. On s’occupaient tout les deux d’un groupe d’une dizaine d’ado exubérent mais plutôt sympa.

Après avoir bordé toute cette jeunesse nous nous retrouvions martin et moi dans notre tente particulière placée en face de l’entrée de la tente des gamins pour pouvoir surveiller mine de rien si certains ne se faisait pas une balade nocturne, les gamins des cités n’ont pas toujours envi de suivre les directives de mecs qui ont tout juste 5 ans de plus qu’eux. Mais la n’est pas la question ni le but de cette confession intime.

Donc comme je vous le disais martin et moi étions dans la même tente depuis le début du camp et depuis le début il me chauffait le salop, j’avais jusqu'à maintenant ignoré ses avances mais cette nuit la martin vient se placer devant moi, il agite sa queue sous mes yeux.

- Tu me suces…

Et la pour seule réponse, j’avale sa bite,

Et je l’étends siffloté et qui entre ? Marc un autre moniteur avec qui je savais martin avait des rapports très intimes.. Se camp était un vrai repaire de gays c’était assez marrant, mais je me perd dans ma confession intime.. Donc, j’étais en train de lécher martin et sans savoir vraiment comment je me suis retrouvé a poil avec la langue de Marc qui m’excite et mon cul commence à se détendre.

- Ah putain tu suces bien me dit martin

En voyant cela, Marc m’enfonce deux doigts dans le cul. Moi je suce de plus en plus vite cette queue suintante qui me bourre la bouche, je bave dessus comme un goret.

- Regarde martin, il aime ça.

- Ouais, j’ai bien envie de le prendre maintenant avant qu’il me fasse jouir.

L’oreille au aguets je m’arrête de le sucer et il vient se placer derrière moi.

- Vu comment Marc t’a léché, je pense que je peux l y aller franco !

- Non, vas-y doucement quand même.

- Ok, ok pas d’inquiétude

Marc s’est placée devant moi, il m’embrasse à pleine bouche. il s’installe confortablement, les jambes bien écartées et se branle en nous regardant. Martin commence à enfoncer son gland dans mon petit trou du cul. Je cris de douleur, je sens sa bite rentrer en moi. Enfin, il est en moi, il reste immobile un moment pour que je m’habitue à sa belle queue longue et épaisse et il commence ses va-et-vient. Doucement au début puis de plus en plus rapide, la douleur a laissé place au plaisir. Marc s’est enfoncée deux doigts dans le cul, il devient de plus en plus hystérique. il attrape ma tête :

- Lèche-moi la bite, j’en peu plus !

Je m’exécute immédiatement, il est complètement trempé de sueur et son gland sent fort, cela m’excite encore plus, je lui titille son braquemart et lui met trois doigts dans le cul en même temps. Je la doigte comme un sauvage il hurle, je le sens, tout comme moi, proche de l’orgasme. Martin m’a empoigné les hanches et me prend comme une bête. Mes cris sont étouffés par la bite de Marc qui me martèle le gosier qui me tient depuis le début par les cheveux. Son corps se contracte, il m’arrache les cheveux, il est entrain de jouir dans ma bouche.

Martin gémit lui aussi de plus en plus, il se retire et s’astique devant mon visage. Il explose comme un geyser, j’ouvre la bouche pour en récupérer le maximum, Marc est dans un autre monde, j’ai toujours mes trois doigts dans son cul plus qu’humide et Il nous regarde avec un magnifique sourire. Martin termine de se vider les couilles. J’ai du sperme partout, sur le visage dans les cheveux. Marc s’approche de moi pour me lécher le visage, il récupère le foutre de son mec.

Martin est vidé, il est assis sur son matelas tout en nous regardant.

- Et bien les mecs, on peut dire que c’était puissant mais il y en a un qui n’a toujours pas joui.

C’est vrai je n’avais pas encore joui. Ma bite était bandée à son maximum et mon cul me brûlait. Marc alla s’asseoir à côté de son homme.

- Ca va être à ton tour mon beau gosse, c’est à toi de te faire enculer.

- Maintenant ?

- Oui maintenant, tu ne vas pas laisser ton meilleur ami dans cet état quand même ?

- Bon d’accord.

Martin remonte ses jambes au-dessus de ses épaules et Marc s’agenouilla pour lécher ce petit trou. Il lui faisait le même traitement qu’à moi, il était aux anges. Je m’approchai de lui et lui donna ma queue. Il la prit à pleine main pour me branler, il l’approcha de sa bouche pour la gober. Il suçait vraiment bien. Je luis pris la tête, lui retira ses mains de ma bite pour imposer moi-même le rythme.

Marc avait enfoncé un doigt et me regardait prendre la bouche de son mec. Après ce traitement, je pris la place de Marc et j’enfonçai mon gland dans son anus. Je prenais possession de son cul en le pilonnant de toutes mes forces. Marc c’était placé dos à lui et se faisait lécher le cul. il admirait mon travail. Martin avait pris la même cadence que moi pour pénétrer avec ses doigts le cul de sa petit minet de copain. Il gémissait de plus en plus fort, moi j’arrivais au point de non-retour, je fis un dernier va et vient puis-je me retirai pour me mettre face à Marc. Il se place face à ma queue, que j’astiquais à fond, je sentis mon foutre monter et j’explosai à la gueule de cette petite tafliole de Marc. IL ouvrit la bouche pour ne pas en perdre une miette, il reçus six grosses giclées, je ne pouvais plus. Il me prit en bouche pour me nettoyer.

Marc nous roula une énorme pelle et partie rejoindre sa tente. Il était très tard et Martin me proposa de dormir. Le lendemain matin, les gamins allaient encore nous faire gueuler. Mais bon la j’étais satisfait le cul bien élargi et les couilles vides.

 

Antoine

 

 

rencontre amoureuse au cinéma

 

 

Je vais vous raconté l'histoire de mon aventure sexuelle sa c'est passé au cinéma. J'été avec un ancien camarade de classe et j'ai eu la main baladeuse elle se balladé sur son entre jambe et sur sa bite je ne savais pas qu'il était gay mais je voulé le savoir en le tripotant la bite et il me disait rien jusqua ce que je voyent se sourir et il ma tripoté et j'aiment ce qu'ils ma fait, on a été au toilette du cinéma c'été pipe,branlette,baize et embrassade.

tous les mois on se retrouve au cinéma j'aime allé le cherché en ville car
on prend le tempt de discuté de chose et d'autre on va souvent dans un magasin
acheté se qu'il faut pour se protégé et maté de beau film porno gay on se
retrouve chezmoi après c'est formidable de pouvoir lui roulé des pelle et de le
sadomiséon préfère la féllation et la branlette j'aime lui enlevé ses vêtement
et sous vêtement pouvoir sentir se bite dans ma bouche c'est qu'il m'exsite le
plus et en plus j'ai même testé un 69 c'est bon de de faire sucé en même tempt
que tu le suce j'aime quand il me prend sans capote car notre couple c'est sans
capote que l'on baise et on préfère tu sens miens la bite de ton partenaire dans
le cu.maintenant c'est finit maisj'ai trouvé quelqu'un d'autre pour m'amusé.


vous pouvé mettre mon adresse e mail je suis à la recherche d'un mec sur saumur
pour baise et partagé nos sentiments


lebeauolivier@hotmail.fr

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